Actuellement, neuf villes et métropoles sont labellisées French Tech : Aix-Marseille, Bordeaux, Grenoble, Lille, Lyon, Nantes, Montpellier, Rennes, Toulouse et Paris. Le point commun de chacune des lauréates est un investissement important de la part des entrepreneurs et des élus locaux.
Cinq nouvelles labellisations
Axelle Le Maire, la ministre du Numérique, a annoncé hier mardi 23 juin, le lancement de cinq nouvelles labellisations. Cinq nouvelles villes qui viendront rejoindre Aix–Marseille, Lyon ou encore Toulouse. Cinq villes qui ont prouvé leur implication dans le digital et le numérique, et qui font figure de terrain propice à l’éclosion de start-ups. Les heureuses élues sont donc Brest, Caen, Rouen, Le Havre et Nice. Reste aujourd’hui une officialisation qui devrait intervenir dans les prochains jours.
Le but de la French Tech est en premier lieu de promouvoir ces start-ups françaises, innovantes et pleines d’avenir. C’est ainsi que « la French Tech désigne tous ceux qui travaillent dans ou pour les start-up françaises en France ou à l’étranger ». L’objectif étant à terme de permettre aux start-ups d’élargir leur impact et accélérer leur croissance. Objectif qui peut s’appuyer sur une levée de fonds de près de 200 millions d’euros réalisée en décembre 2014.