Néanmoins, le RNPG (résultat net part du groupe) reste négatif à -1,6 millions d’euros en raison d’une dépréciation des écarts d’acquisition.
Des résultats encourageants
Le numéro 2 français du secteur des casinos (après le groupe Barrière) n’avait pas annoncé de profits nets totaux depuis les périodes 2010/2011 (à 2,03 millions d’euros) et 2006/2007 (à 23,8 millions d’euros). Même s’il reste négatif, son RNPG passe de 13,3 millions d’euros en 2012/2013 à -1,6 millions pour ce dernier exercice.
D’autre part, à la clôture de ce dernier exercice, le groupe Partouche réduit son endettement net à 128,3 millions d’euros. Grâce à des projets de cession tels que la vente du Garden Beach à Juan-les-Pins, l’exploitant de casinos français pourrait même passer cette année sous la barre des 100 millions d’euros d’endettement.
Une confiance retrouvée
L’entreprise poursuit donc la remise en ordre et l’assainissement de sa situation financière, en parallèle du programme de désendettement et du plan de sauvegarde actuellement menés. Selon Fabrice Paire, Président du Directoire, le groupe « va mieux ».
Il ajoute également :
« Depuis 2 trimestres, la tendance est encourageante. Et nous travaillons pour la maintenir. Je suis confiant et serein. Nous avons fait un gros travail de restructuration. C’est le rebond et nous faisons mieux que nos concurrents ».